background de Mina

J'avais juste envis de raconter la vie de Mina ... :

Londres, il y a 25 ans, un 21 octobres, sous la neige, dans une clinique comme les autres. C’est la que je suis née. Un beau bébé, avec déjà un beau petit duvet blond sur le crane. Je ne me rappelle pas de cette époque, mais ma mère m’a raconté, un jour de pluie, que j’étais née prématurément. Même si j’étais un beau bébé de taille moyenne, les médecins avaient voulu me garder plus longtemps, et durant les 2 semaines ou je suis restée à la clinique, mon père veillait 24/24 sur moi.

Mes premiers souvenirs concrets et marquants remontent à mon 7éme anniversaire. Une robe, une belle robe rose a volants, et un bandeau rose pour mes cheveux blonds comme les blés. J’avais porté cette tenue un jour entier pour faire plaisir a mon père, et pourtant, dieu sait a quel point je haïssais cette robe, dès que mon regard s’était posé sur cette toilette pour petites filles distinguées anglaises. Mais même si je ne l’aimais pas, que je ne pouvais pas la voir et encore moins la porter, je ‘lavais fait, un jour entier, pour mon père… Père qui me retenait prisonnière d’une prison dorée.
Mon enfance se passa ainsi, choyée par mes parents qui faisaient leur possible pour être la un maximum de temps, même s’ils travaillaient tous les deux. Je me sentais plutôt bien dans cet univers ou un soleil permanant coulait sur ma petite existante insignifiante.
Mais plus je grandissais, plus je m’apercevais que la beauté de cette vie était bien pâle par rapport a ce que je voulais. Oui vous devaient vous dire « c’est une enfant gâtée elle a tout ce qu’elle veut et elle n’est pas contente », et je vous répondrais, ce n’est pas faut. Mais si j’avais put, j’aurais échangé ma vie dans ma belle cage dorée contre une vie ou je pourrais sortir un minimum, voir des gens, me faire des amis. Des amis j’en avais bien, trois ou quartes, des « copains de classe », mais justement, je ne les voyais qu’en classe et j’aurais bien voulu sortir avec eux les week-ends. Je me sentais exclue quand le lundi revenait, quand ils se racontaient leur week-end passé en commun, quand certains me demandaient si je pourrais enfin venir le samedi suivant, et que je leur répondais inlassablement que je ne pourrais pas …

A mes 14 ans, j’eu enfin le courage d’enfreindre les lois paternelles, je fuguais. Pour commencer, j’ai erré pendant une bonne heure dans les rues sombres de Londres. Et, au bout d’un petit moment, un jeune homme qui courrait dans une de ses ruelles me percuta de plein fouet. Il m’avait littéralement éjectée a l’autre bout de la rue, j’étais assise sur le sol, encore hébète, quand il me releva d’une main et m’entraina dans un autre boyau de la ville, ou il me plaqua contre le mur, une main sur ma bouche, sans bouger. Il regardait la rue d’où nous venions, sa respiration était saccadée, mais il faisait tout pour rester silencieux. Après l’étonnement, vu qu’apparemment il ne voulait pas encore me lâcher, je me permis à le détailler. Il était plus grand que moi, d’au moins une bonne tête, ses cheveux étaient longs et noirs, détachés, et voletaient au moindre coup de vent, ses yeux étaient verts et un piercing a l’arcade attira mon regard. Je ne voyais pas souvent de jeunes gens dans ce genre… Quand a son style vestimentaire, il était vêtu d’un simple jean délavé et déchiré aux genoux, il avait un teeshirt blanc et une veste de cuir sombre. En le regardant bien, j’envisageais son âge à 16 ans. Mais ça m’importait peut, il était si … Beau, et surtout un charme dévastateur émanait de lui.
J’entendis un bruit, venant de la ruelle que nous avions quittée, qui me fit redescendre sur terre. Des jeunes gens courraient dans la rue en beuglant des phrases comme « Ou il est passé ce s***** ? » ou « Si je le retrouve je le descends de mes mains ! ». Mais les voix s’estompaient déjà, et les jeunes hommes disparurent rapidement. Le jeune inconnu me garda plaquée au mur, bâillonnée par sa main, encore un petit moment, avant de me libérer.

-Merci de n’avoir rien dit … T’aurais fait un seul bruit et j’étais mort …

Il m’adressa un sourire auquel aucune femme/fille ne pourrait résister. D’ailleurs, voyant que je restais muette, il enchaina.

-Je m’appelle Chris, Je t’ais pas fait mal en te fonçant dessus comme ça ?

Je ne réussi seulement à faire « non » de la tête, un sourire éclatant apparu alors sur ses lèvres si parfaites. Ses yeux verts me détaillèrent de haut en bas, et une grimace sarcastique se dessina sur son visage.

-Tu viens d’où fringuée comme ça ?

Effectivement, on pouvait se le demander. J’avais encore ma jupe de collégienne, je n’avais pas eu le temps de me changer entièrement avant de sortir de chez moi, et je portais une chemise d’homme, celle de mon père, comme tout haut. Etrange comme mélange.

-Heu et bien … A vrai dire je viens de fuguer … tu pourrais me montrer un endroit ou je pourrais rester tranquille un petit moment, mes parents sont déjà sans doute a ma recherche …

Un nouveau sourire si charmant se dessina sur els lèvres de mon beau jeune homme. Je crus entendre une réplique dans le genre de « Si jeune et déjà une fugitive en herbe … Futur délinquante celle la »… Bref Chris m’emmena avec lui, et me conduisit jusqu'à sa bande d’amis. 4 garçons et 2 filles. Ils me toisèrent et demandèrent à jeune homme qui était « la gamine » qu’il ramenait. Chris leur embellit la vérité, racontant que je l’avais aidé à se cacher alors que « sa bande » le poursuivait. Après sa petite histoire, la tribu de rockeur se trouvant sous mes yeux m’accueillit à bras ouverts. Je passais un peut plus d’un jour avec eux quand un homme au visage creusé et aux cernes marquées me sauta dessus en criant mon prénom, mon père. Je n’eu pas le loisir de dire au revoir a tout le monde, je ne connaissais d’ailleurs pas leur prénoms a part celui du « chef », je ne comprenais pas ce qui m’arrivais, que je me retrouvais déjà dans une voiture qui m’était familière. La porte a peine fermée, mes parents commençaient à me faire la morale, et les cris me transperçaient les tympans, a ce moment, je venais de prévoir une seconde fugue.

Et c’est ce qui arriva une semaine plus tard. Cette fois, j’avais pensé à apporter mes économies, je comptais bien me faire relooker par Chris et sa bande, et si possible l’intégrer, les filles semblaient déjà m’avoir adoptée. Cette fois j’enfilais un jean et un teeshirt blanc, et attendais la nuit pour filer par la fenêtre.

J’errais un moment dans les rues sombres de Londres, cherchant leur repère, mais ne trouvant rien. Au bout de plusieurs heures de marche, une voix que je désirais entendre depuis une semaine me parvint, elle criait mon prénom. Chris.

-Que fais tu la ? Je croyais que ton père t’aurait enfermé dans un couvant vu sa réaction de l’autre jour …

Je lui souris et répondit en lui bondissant dans les bras.

-Je te cherchais, crois tu que je puisse faire partit de votre bande ?

A mon grand étonnement, il ne me repoussa même pas, au contraire, entourant mes épaules de son bras, il me répondit au creux de l’oreille.

-On va prendre bien soin de toi …

Jef, grand brun, baraqué comme pas deux, et pourtant, une mentalité de gamin qui faisait rire tout le monde, Edward, dit Ed, blond, un peut plus grand que moi, tout fin, et très réservé, mais tout de même très gentil, Charlie, brun lui aussi, les cheveux ébouriffés en permanence, une âme de bisounours, Mike, tête rasée, des piercings de partout et pourtant très accueillant, il se prenait pour le grand frère que je n’avais pas ; Alice, brune, petite, gracieuse et pétillante, c’était la première a m’avoir directement adoptée et considérée comme une membre a part entière du groupe, et pour finir, Audrey, cheveux flamboyants, roux, couleur naturel ou non, aucune idée, plutôt froide, mais qui, si elle l’avait put, m’aurait modelée a sa façon ; voici toute la bande au quelle j’appartenais a présent.
[size=142]Première chose a laquelle Alice et Audrey s’occupaient fut de me relooker. Nous fîmes plusieurs magasins, et a la fin de la journée, je ressemblais a … Une rockeuse, une vrai, une rebelle, une petite délinquante juvénile. Veste de cuire, new-rock, jean déchiré, chaines au poignet, et maquillage adapté. Le reste de la journée je faisais plus ample connaissance avec tout ce beau monde. [/size]
Le deuxième jour, Audrey me traina chez un perceur, et j’en ressortis avec un piercing sur le bout de la langue, et un a l’arcade, comme celui de Chris.
Je passais trois jours avec eux, avant de me faire trainer chez moi par un flic qui m’avait vue par hasard et qui trouvait que je ressemblais beaucoup à la jeune fille disparue.

Plus le temps passait, plus je me détachais de mes parents, et plus je retrouvais mes nouveaux amis, ma deuxièmes famille. Et également, plus le temps passait, et plus Chris m’attirais. Je me demandais bien comment il faisait pour me supporter, pendant 2 ans, il m’avait eu sur le dos presque 24 heures sur 24, et pourtant il était de plus en plus proche de moi. De mon côté, c’était à la fois un don du ciel et un supplice, se garçon me plaisait je ne pouvais le nier, mais comment lui dire ?
Pour me 16éme anniversaire que je passais avec eux, après une petite fête en groupe, mon beau jeune homme me prit a part. Il m’attira en silence dans une petite ruelle comme celle de notre « rencontre », m’adossa au mur, et me regarda longuement.

-Mina … Tu a bien changé depuis le jour ou je t’ai bousculée dans une ruelle comme celle-ci … Et a vrai dire tu … Je … Quand je vois un garçon s’approcher de toi je sens un espèce d’horrible sentiment qui m’envahi, une haine envers ce type alors qu’il ne m’a rien fait … Au dépars je pensais que je te considérais comme ma petite sœur et que c’était pour te protéger que je réagissait comme cela, mais je crois bien que c’est de la jalousie … Mina, que me répondrais tu si je te disais que je t’aime ?

Même dans cette déclaration maladroite je le trouvais parfait … Pour toute réponse, je fixais le bout de mes new-rock en baladant une de mes mains sur son torse. Cette main remontait doucement dans son cou, puis sur sa joue, et finit par redessiner le contour de ses lèvres. Il dut comprendre ce que je ressentais car il prit ma main dans la sienne, et, doucement, se pencha vers moi. Doucement, toujours plus prés, doucement, a quelques centimètre, plus doucement, il effleura ma bouche de ses lèvres douces. Je ne pourrais pas dire ce qui me prit a ce moment, mais ma main libre vint se loger sur sa nuque, et je m’approchais de son visage, toujours plus dangereusement. Les sentiments qui m’assaillirent après m’étaient inexplicables. Je sentais ses lèvres contre les miennes, sa bouche qui s’ouvrait peu a peu, sa langue qui quémandait l’accès a ma bouche, accès qui lui fut accordé, nos langues qui se cherchaient, se trouvaient, se perdaient, puis se retrouvaient dans un balais infernale de sentiments et de sensations.

Ce moment m’est inoubliable, mon première véritable baiser, j’en avais déjà embrassé des jeunes hommes, mais jamais je n’avais ressentit ça … Chris c’était Chris que j’avais toujours désiré …

Le temps passait, et notre chemin en duo avançait …passant des baisers aux caresses, remplissant mon pauvre petit être d’un enchantement nouveau, finissant par des serments de fidélité… Quelle belle époque …

Avec ma nouvelle famille, je commençais à boire, a fumer, a tester toutes sortes de drogues… Avec eux, un an après ce bel événement qui m’avait lié à Chris, un soir où nous avions tous bu plus que d’habitude, un soir ou les cigarettes n’étaient pas seulement bourrées de tabac, Charlie de Bisounours et Chris me tendirent un petit sachet de poudre blanche. Plus folle que jamais, et surtout grisée par l’alcool et la présence de celui qui contait le plus a mes yeux, j’acceptais cette cocaïne avec plaisir. Moi je l’acceptais, mon corps quand a lui ne le supportait pas.

Chris m’amena à l’hôpital ou un jeune médecin essayait tant bien que mal de me faire revenir à moi. Coma élitique, overdose, j’étais en bien piteux état … On me raconta que Chris et Charlie se sentaient coupable de mon état, qu’ils étaient restés a mes côtés durant des jours et des jours, Charlie se faisait relayé par Alice, Audrey, Jef, Ed et Mike, mais Chris restait fidèle au post, attendant patiemment que je revienne a moi. Malheureusement ça n’arriva pas.
Un autre jeune homme au teint cadavérique, aux cheveux d’encre et aux yeux rouges foncés prit la place du médecin qui avait ma charge. Il prit son rôle très au sérieux durant une petite semaine, et au bout de ce temps annonça à ceux qui attendaient désespérément mon retour que j’avais quitté ce monde.
A vrai dire, ces derniers moment m’ont étaient rapportés, je n’en ai aucun souvenir.
Le dernier souvenir que j’ai depuis mon overdose est une douleur insoutenable dans tout le corps, comme si mon sang était devenu un acide qui me dévorait de l’intérieure, comme si je brulais, j’étouffais … Quand je me réveillais enfin, la souffrance avait disparue.

Ouvrant les yeux a nouveau, j’avais l’impression de redécouvrir le monde, ma vision était différente, je voyais bien mieux dans le noir, la moindre souris faisait le bruit d’un éléphant et j’entendais des gens chuchoter a l’autre bout de la maison. En me relevant, je me retrouvais devant un miroir. Comme j’avais changé, ce n’était pas possible, mes cheveux étaient noirs, mes yeux caramels, mon teint aussi pâle qu’une poupée de porcelaine … Et derrière moi ce trouvait un jeune homme qui me racontait déjà ce qu’il s’était passé …
Un vampire j’étais un vampire …

Ma nouvelle vie commençait … J’eu énormément de mal a m’y faire, et Akiro, le vampire qui avait procédé a ma transformation, eut encore plus de mal a me convaincre de ne pas repartir dans les ruelles sombres de Londres pour retrouver Chris. Au bout de plusieurs jours, il dut m’avouer que Chris avait sombré dans l’alcoolisme après avoir apprit ma mort, qu’il avait été saoul a longueur de temps et qu’il était devenu violent envers sa bande, et, qu’au bout de trois petits jours, il s’était pendu.
Ce fut a mon tour de sombrer dans une déprime sans nom … A quoi me servait il de vivre une éternité qi je n’avais pas l’homme que j’aimais a mes côtés ? A ce moment, je me promis de ne plus jamais tomber amoureuse, et c’est ce que je fis, durant 8 ans de vie commune avec Akiro, jamais celui-ci ne m’apparu autrement qu’un simple vampire qui m’avait évité de mourir, et qui essayait de m’apprendre à résister a l’odeur du sang humain.8 ans, ça fait 8 ans que je vis avec Akiro, et ce n’est qu’au bout de ces 8 longues années que quelques chose d’intéressent arriva enfin, une place d’infirmière se libérait dans un lycée ou les élèves aussi bien que le personnel avait des dons hors-norme. Ce serait parfait pour ma nouvelle vie, et puis, si je pouvais sauver un jour quelqu’un, et éviter un chagrin sans fin a un autre être qui tenait au premier comme a sa propre vie, je me sentirais comblée, et, peut être, qu’enfin mon propre chagrin pourrait commencer a s’estomper

Vade Retro Satanas

Que me vaut cet honneur ? ^^

Bah t'es une vampire nan?

Ce faisant il sorti un collier de gousse d'ails et se le mit autour du coup en se bouchant le nez

pasque tu crois que 3 gousses d'ail et demi vont m'aretter ?? MOUWAHAHAHAHAHAHAHA:74:

C'est long.

=D je suis fière de moi pour ça ^^
C'est pour els jours de plui, si un jour tu t'ennui et que t'as rien d'autre a faire ... ^^

Arg Satan.....

Arrière !

MOUWAHAHAHAHAHAHAHAHAHA kreu kreu kreu ... encore une marmotte qui veux me tuer ... Snif -_- background de Mina 555240

T'en fais pas, je sais c'que c'est. Moi aussi on m'appelle Satan à longueur de journée ;O;

moi c'est "l'autre folle" pour les intimes mdr ^^

L'aitre folle....sympa comme surnom xD tu dois pas être bizarre du tout toi

Bha oui, si elle était bizarre son surnom aurait plus aucun intérêt.

hihi, je suis aps bizare (enfin si mais bon) mais juste un peut beaucoup folle ^^et plus sa va, plus c'est pire -_-

Moi j'suis bizarre mais pas trop fou ~

bé chacun so ntruc ... t'as jamasi miauler dans un couloir du lycée pasque quelqu'un te bousculait, ou encore une réplique dont mon prof de français se souviendra toute sa vie "Oui donc le père La Chaise a donné son nom a ... ?" "Une chaise" hihi crétine ^^

Nan mais j'ai fais des trucs pas mal ~

dans quel genre ?? ^^

"Les églises gothiques c'est parce qu'elles ont été inspirées par les goth'?"

A l'époque j'écoutais pas encore de metal ni rien.

pas mal effectivement ^^ tu a de l'avenir petit ^^ (quesqui me prend ... Je me prend pour une amfieuse moi ?)
tu réussi a sortir quoi d'autre ?

J'sais plus. J'ai dis en cours de cathé (J'suis en collège privé catho.) qu'il fallait vraiment être un pigeon pour croire en dieu...

Je suis de ton avis, mais faut pas dir ça en cathé voyon lol ^^

Moi j'arrive quand même a bouffer des bonbons en histoire géo ou la prof est bien amniaque comme il faut,, a me faire choper, vu que je suis sous son nez, et a répondre "mais nonon je mange rien" limite t'as encore un bout de bonbon qui te sort de la bouche, mais la c'es de la connerie pur et dure ^^

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